Cohésion sociale

Cité de Chantier et d'Houthulst

Le site de logements sociaux de « Chantier-Houthulst » (2 immeubles principaux, l’un datant de 1937 - rénové en entre 2002 et 2007 - et l’autre construit en 1916 - rénové en 1999 et 2006 -, ainsi que 3 autres petits immeubles construits dans les années 1930) est situé à la limite des quartiers Yser et Dansaert. Ce patrimoine de 231 appartements (pour 642 habitants) est géré par le Logement Bruxellois.

Sur la population en âge de travailler, 15% ont un emploi salarié, 69% bénéficient d’une allocation sociale (chômage, revenu d’insertion sociale, pension, mutuelle, …) et 16% ne disposent d’aucune ressource financière.

De manière générale, le bâti est rénové et en bon état.

Cité des Potiers et du Vautour

Le site de logements sociaux des « Potiers » et du « Vautour » (3 grands immeubles construits dans les années 1950 et partiellement rénovés dans les années 2000) est dans le quartier Anneessens. Ce patrimoine de 255 appartements (pour 275 habitants) est géré par le Logement Bruxellois.

Sur la population en âge de travailler, 10% ont un emploi salarié, 74% bénéficient d’une allocation sociale (chômage, revenu d’insertion sociale, pension, mutuelle, …) et 16% ne disposent d’aucune ressource financière. De manière générale, le bâti des Potiers est dans un état de vétusté. Un projet de rénovation lourde sera lancé en 2018, nécessitant de vider les appartements. A Vautour, le bâti a été rénové en 2007 mais sa mauvaise configuration architecturale (superficies des appartements) et quelques problèmes techniques (liés à l’humidité) causent de nombreuses nuisances. Un plan de mutation pour les locataires des 7 bâtiments du Vautour arrière sera initié début 2019. Le site va donc progressivement se vider d’un grand nombre de ses habitants.

Cité de Rempart-des-Moines

Le site de logements sociaux de « Rempart-des-Moines» (5 immeubles construits en 1965) est situé à la l’arrière de la rue Dansaert. Ce patrimoine de 324 appartements (pour 700 habitants) est géré par le Logement Bruxellois. Sur la population en âge de travailler, 10% ont un emploi salarié, 74% bénéficient d’une allocation sociale (chômage, revenu d’insertion sociale, pension, mutuelle, …) et 16% ne disposent d’aucune ressource financière. De manière générale, le bâti est dans un état de vétusté (humidité, courants d’air, fissures, champignons). Un projet de destruction-reconstruction est en cours (début des travaux estimés en 2022). Début 2019 le bureau d’étude devrait être désigné et les premiers déménagements devrait avoir lieu au cours du deuxième semestre 2019.

Cité de la Querelle

Le site de logements sociaux la « Querelle » (7 immeubles construits dans les années 1970) est situé dans le bas des Marolles. Ce patrimoine de 371 appartements (pour 708 habitants) est géré par le Logement Bruxellois.

Sur la population en âge de travailler, 16% ont un emploi salarié, 69% bénéficient d’une allocation sociale (chômage, revenu d’insertion sociale, pension, mutuelle, …) et 15% ne disposent d’aucune ressource financière.

Le plan de rénovation de l’enveloppe extérieur dont ont fait l’objet 3 tours du site depuis 2016, s’est terminé en 2018.   Ce chantier a travaillé principalement 3 aspects : l’isolation extérieure, le changement des châssis et l’installation d’une ventilation performante dans les logements.

Le site a également accueillie 23 nouveaux ménages suite à la rénovation du bâtiment « Tanneurs-Lavoirs ».

Nouvelle Cité du Bempt

Le site de logements sociaux la « Nouvelle Cité » (9 immeubles construits entre 1952 et 1969) est situé dans le bas de Forest le long de la chaussée de Neerstalle, à la limite de Drogenbos et d’Uccle. Ce patrimoine de 310 appartements (pour 276 habitants) est géré par le Foyer du Sud.

Sur la population en âge de travailler, 8% ont un emploi salarié, 66% bénéficient d’une allocation sociale (chômage, revenu d’insertion sociale, pension, mutuelle, …) et 26% ne disposent d’aucune ressource financière.

Les bâtiments présentent de nombreux problèmes techniques (isolation, plomberie, infiltrations, tuyauterie, etc).

En mars 2019, moins d’une centaine d’appartements seront encore occupés et des travaux de rénovation lourde auront commencé sur la plupart des bâtiments.